mercredi 30 mars 2011
Vidéo
samedi 26 mars 2011
Ouest - Est
supposer être un des oiseaux les plus intelligents de la terre. Aussi célèbres, mais moins spécifiques, les phoques.
Suite à cette journée de bus, ma seule envie était de remonter sur mon vélo. Comme j'avais rendez-vous quatre jours plus tard à Dunedin avec Sofie, j'ai pris la carte et divisé le trajet en quatre étapes. Ce trajet m'a fait quitté la zone très touristique (en passant néanmoins là où le "bungy" a été inventé - vous savez, les gens qui sautent d'un pont accrochés à un élastique) et traverser une partie de la Nouvelle-Zélande moins signalée dans les guides, mais pleine de charme. C'est la région du vin et des chercheurs d'or. Je dois dire que pour une Française, voir des vignes dans cet environnement (photo) est un peu étrange. Les anciennes mines, quant à elles m'ont fait revisiter mes classiques du Wild West états-uniens.
Après ces paysages montagneux et très arides, j'ai débarqué dans le pays des moutons. J'étais très surprise depuis mon arrivée sur l'île du Sud de ne pas en voir plus, la Nouvelle-Zélande est quand même connue pour ça, non ? Mais là, je les ai vus. Des milliers et des milliers de moutons. En m'arrêtant au bord de la route pour faire une pause, j'ai fait la connaissance avec Mr. MacCorkindale, quatrième génération d'éleveurs de moutons originaire d'Ecosse. Cette famille possède 16 000 moutons et entre 4 et 500 têtes de bétail.
Lors de mon étape à Roxburgh, en pleine saison de récolte des pommes, la propriétaire du Backpacker dans lequel j'ai dormi m'a conseillé d'emprunter le chemin au bord de la rivière plutôt que la route principale. Très bon conseil. J'ai suivi pendant une dizaine de kilomètres le cours de la "Mighty" Clutha River. C'est ma rivière préférée en Nouvelle-Zélande (si si, on peut avoir un coup de coeur pour une rivière).
En Nouvelle-Zélande, un des sports nationaux est d'avoir une boîte aux lettres originale. Je n'ai pas commencé à les photographier car il y en a des centaines. Mais celle-ci, je ne pouvais la rater.
Et donc, comme je le disais dans mon précédent message, je suis arrivée à Dunedin. Charmante ville sur la côte est de l'île du Sud dans laquelle il fait bon faire une pause. J'y ai retrouvé Sofie et nous sommes parties pour trois jours sur le Otago Rail Trail. C'est
une ancienne ligne de chemin de fer qui a été transformée en chemin carrossable. Très pratiquée par les cyclistes. Ici ce ne sont pas les chercheurs d'or, mais les éleveurs de moutons qui ont (un peu) façonné le paysage. Rendez-vous avec les grands espaces. Sur cette ligne de chemin de fer, au plus fort de son exploitation, c'est à dire pendant la première moitié du vingtième siècle, jusqu'à 120 000 moutons ont transité en une année. Le Otago Rail Trail fait environ 150 km que nous avons couvert en trois jours. Sans problème, car par définition, le chemin suivant l'ancienne ligne, quand ça monte, ce n'est vraiment pas très raide. De plus, tout est extrêmement bien organisé et nous avons eu la chance de bénéficier d'une nuit dans un Bed&Breakfast très confortable pour un prix défiant toute concurrence
avec un accueil chaleureux qui m'amène à faire un peu de publicité. Si vous passez par là, l'adresse à ne pas manquer, c'est le Lauder Store B&B à Lauder.
J'espère que vous allez pouvoir "cliquer" sur les photos panoramiques.
Et pour finir ce long message, un des oiseaux emblématiques de la Nouvelle-Zélande : le Pukeko avec ses belles plumes bleues.
mardi 22 mars 2011
Plan B et Kiwi quizz # 3
mercredi 16 mars 2011
La ville de la Reine
En revanche, le lendemain, le programme était un peu plus chargé. Ma plus longue étape jusque là, presque 124 km. Mais ce n'était de loin pas la plus difficile. Je suis passée de la montagne, à la mer, à la route côtière avec ses raidillons, pour arriver en fin d'après-midi à Haast Junction. Ce qui est particulier, depuis Fox Glacier, c'est qu'il y a de moins en moins d'habitations et donc d'habitants. On peut facilement rouler deux ou trois heures sans croiser personne (en dehors des voitures). Cela donne le temps d'admirer le paysage, qui est beau, mais aussi varié.
mercredi 9 mars 2011
Pause au pied du glacier
vendredi 4 mars 2011
Vous l'aurez voulu...
Oui, je sais, je suis tout à fait à mon avantage. Et encore, on ne voit pas le bronzage cycliste.
mardi 1 mars 2011
La ligne blanche
Eh oui : c'est elle.
Merci pour votre participation active !
Wellington "the windy city", mérite bien son nom (il y a même une expression pour dénommer les périodes - exceptionnelles - pendant lesquelles il n'y pas de vent pendant plusieurs jours). En dehors de cela, c'est une ville charmante, mélange d'anciens et de nouveaux bâtiments. On a un peu l'impression d'être au bout de quelque chose.